Face à une dégradation de la solvabilité, les acheteurs immobiliers se tournent vers des logements plus petits, les seuls qu’ils peuvent encore se permettre. Selon les Notaires du Grand Paris, la hausse des taux d’intérêt a sévèrement limité l’accès au crédit, entraînant une réduction de 60% des crédits immobiliers en moins de deux ans. Les volumes de vente ont particulièrement chuté pour les grandes propriétés, tandis que les studios, moins dépendants des crédits, sont moins affectés. En Île-de-France, les prix restent élevés malgré une baisse récente, et les acquéreurs sont contraints de sacrifier de la surface pour rester dans leur budget.
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